vers un poste de travail universel
La virtualisation du poste de travail consiste à déporter sur le
réseau les applications, bureautiques ou
métiers, utilisées par les agents, leur permettant ainsi de retrouver depuis n’importe quel endroit et sur tout type de terminal leur environnement de travail. Elle permet également aux responsables informatiques de gérer le plus finement possible les licences et les droits d’accès, ainsi que les coûts qui en découlent.
Pour les agents en situation de mobilité, qui resteront toujours une minorité par rapport aux agents sédentaires pouvant déjà pleinement bénéficier des bienfaits de la virtualisation du poste de travail, l’existence de solutions permettant à la fois le travail en mode connecté ou déconnecté devrait permettre encore plus l’innovation dans les usages et une appropriation rapide des solutions mobiles par les agents publics.
La conférence était animée par Yazid Chir, Président de Néoclès, la filiale d’Orange Business Services spécialisée dans la virtualisation du poste de travail et prestataire du Forfait Informatique. Ce fut l’occasion de mettre la virtualisation en perspective par rapport aux cycles d’évolution de l’informatique et de démontrer l’extrême souplesse qu’elle procure aux utilisateurs et aux gestionnaires dans le déploiement et la maintenance d’un parc de postes de travail de 3ème génération. Deux témoignages ont permis d’éclairer les enjeux de la virtualisation, notamment dans le secteur public.
Christophe Bacoup, Responsable Systèmes, Réseaux et Sécurité à l’Office National des Forêts, a confirmé quant à lui le double intérêt de la virtualisation du poste de travail. Pour l’utilisateur d’une part, l’important est d’avoir un environnement de travail fonctionnel et accessible rapidement, y compris et surtout pour les agents sédentaires. Pour le gestionnaire, la virtualisation apporte des économies très importantes, aussi bien pour le déploiement de nouvelles applications que pour l’exploitation. Au total, c’est une amélioration dans un rapport de 2,5 du coût de possession (TCO) ou, plus logiquement, de la valeur de possession (TVO) qui est observée par l’ONF.
Les freins essentiels qui semblent se dessiner sont avant tout liés à la culture du numérique et à l’inquiétude relative à la localisation, à la sécurité et à la confidentialité des données. En revanche, il semble que les craintes de disponibilité des données soient beaucoup moins importantes, la qualité des réseaux permettant aujourd’hui une qualité de fonctionnement adéquate.
Face à ces freins culturels, les personnes consultées recommandent bien entendu la prudence mais surtout la communication, pour démystifier la notion de contrôle sur les données, en faisant valoir notamment l’intérêt d’une gestion coordonnée des applications et des données par rapport aux risques inhérents fasse à la « fragilité » relative d’un poste soumis aux aléas de la technique et aux conséquences d’une malveillance. La mise en perspective de ces freins avec les gains attendus liés à l’ubiquité des terminaux et les économies réalisées tend à montrer que la virtualisation du poste de travail devrait devenir une politique centrale pour participer aux objectifs de mutualisation et de modernisation des ressources dans le secteur public.
Pour plus d'informations, cliquez sur la vidéo ci-dessous:
métiers, utilisées par les agents, leur permettant ainsi de retrouver depuis n’importe quel endroit et sur tout type de terminal leur environnement de travail. Elle permet également aux responsables informatiques de gérer le plus finement possible les licences et les droits d’accès, ainsi que les coûts qui en découlent.
Pour les agents en situation de mobilité, qui resteront toujours une minorité par rapport aux agents sédentaires pouvant déjà pleinement bénéficier des bienfaits de la virtualisation du poste de travail, l’existence de solutions permettant à la fois le travail en mode connecté ou déconnecté devrait permettre encore plus l’innovation dans les usages et une appropriation rapide des solutions mobiles par les agents publics.
la virtualisation du poste de travail dans la sphère publique
L’édition 2011 des Rencontres des Acteurs Publics du 4 au 6 juillet à Paris était l’occasion pour Orange Business Services d’organiser une conférence sur la virtualisation du poste de travail. C’est un des sujets dont l’importance croît en même temps que celle du Cloud Computing, sur fond de Révision Générale des Politiques Publiques et son cortège d’économie et de mutualisation.La conférence était animée par Yazid Chir, Président de Néoclès, la filiale d’Orange Business Services spécialisée dans la virtualisation du poste de travail et prestataire du Forfait Informatique. Ce fut l’occasion de mettre la virtualisation en perspective par rapport aux cycles d’évolution de l’informatique et de démontrer l’extrême souplesse qu’elle procure aux utilisateurs et aux gestionnaires dans le déploiement et la maintenance d’un parc de postes de travail de 3ème génération. Deux témoignages ont permis d’éclairer les enjeux de la virtualisation, notamment dans le secteur public.
des retours d’expérience favorables, à la fois pour les gestionnaires et les utilisateurs
Pour Julien Paynot, Responsable du label Handéo, la virtualisation s’est imposée à l’occasion d’un déménagement et qui a vu la défaillance de son prestataire informatique. Outre l’avantage d’avoir permis à Handéo une reprise d’activité en 6 semaines, elle procure de nombreux avantages liés à la capacité de gérer les utilisateurs de façon souple, sans engagement de volume, en toute prédictivité budgétaire. Elle a permis également d’offrir de nouveaux moyens de travail aux personnes mobiles et le développement du télétravail.Christophe Bacoup, Responsable Systèmes, Réseaux et Sécurité à l’Office National des Forêts, a confirmé quant à lui le double intérêt de la virtualisation du poste de travail. Pour l’utilisateur d’une part, l’important est d’avoir un environnement de travail fonctionnel et accessible rapidement, y compris et surtout pour les agents sédentaires. Pour le gestionnaire, la virtualisation apporte des économies très importantes, aussi bien pour le déploiement de nouvelles applications que pour l’exploitation. Au total, c’est une amélioration dans un rapport de 2,5 du coût de possession (TCO) ou, plus logiquement, de la valeur de possession (TVO) qui est observée par l’ONF.
des freins au développement de la virtualisation subsistent cependant
Souplesse dans le pilotage des applications, simplicité du modèle économique à l’usage, réduction importante des coûts informatiques, développement simple des usages, autant de critères qui reviennent et plébiscitent largement le recours à la virtualisation du poste de travail dans les administrations. Le passage à l’acte reste cependant plus prudent. Pour comprendre ce phénomène, Orange Business Services a interrogé des représentants de différents horizons publics pour tenter de comprendre ce décalage entre bénéfices apparents et réalité du terrain :Les freins essentiels qui semblent se dessiner sont avant tout liés à la culture du numérique et à l’inquiétude relative à la localisation, à la sécurité et à la confidentialité des données. En revanche, il semble que les craintes de disponibilité des données soient beaucoup moins importantes, la qualité des réseaux permettant aujourd’hui une qualité de fonctionnement adéquate.
Face à ces freins culturels, les personnes consultées recommandent bien entendu la prudence mais surtout la communication, pour démystifier la notion de contrôle sur les données, en faisant valoir notamment l’intérêt d’une gestion coordonnée des applications et des données par rapport aux risques inhérents fasse à la « fragilité » relative d’un poste soumis aux aléas de la technique et aux conséquences d’une malveillance. La mise en perspective de ces freins avec les gains attendus liés à l’ubiquité des terminaux et les économies réalisées tend à montrer que la virtualisation du poste de travail devrait devenir une politique centrale pour participer aux objectifs de mutualisation et de modernisation des ressources dans le secteur public.
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